Pour les carences, le plus flagrant c'est l'absence totale de vitamine C, indispensable pour pas mal de trucs, notamment l'absorption du fer. Sans parler des fibres, inexistantes dans la viande, et quasi inexistantes dans les pdt si tu les consommes sans la peau... Bonjour les problèmes de transit ! Après, sur les quantités astronomiques... Bof, tu vas juste te dégoûter avant d'avoir de graves carences, je pense. Enfin j'espère, parce que niveau cholestérol et compagnie, ça doit pas être joli joli non plus.
Exact, la vitamine C c'est le truc qui saute aux yeux direct. Mais faut pas oublier les folates aussi, importants pour le renouvellement cellulaire, et qu'on trouve surtout dans les légumes verts. Une carence prolongée, ça peut avoir des conséquences sur la peau, les cheveux... et même le système nerveux à la longue.
Je suis pas totalement d'accord avec l'histoire du dégoût avant les carences. On sous-estime la capacité du corps à s'adapter, même à des trucs pas terribles. Et puis, il y a des gens qui ont une tolérance au cholestérol plus forte que d'autres, non ? Faut voir le profil de chacun, c'est pas une science exacte.
Quand tu parles de profil, c'est vrai que ça change pas mal la donne. On est tous différents face à l'alimentation, et ce qui est mauvais pour l'un peut être moins pire pour l'autre. Mais quand même, un régime aussi limité, ça me paraît risqué pour n'importe qui sur le long terme... Même avec une super tolérance au cholestérol, le manque de vitamines et de fibres va forcément poser problème un jour ou l'autre, non ?
Quand tu dis "pas viable", tu penses à quelle échelle de temps exactement ? Parce qu'un mois, six mois, ou dix ans, c'est pas la même histoire niveau conséquences, non ?
Oui, tout à fait ! Je pensais plutôt sur du très long terme, genre des années. Je me demandais si le corps pouvait vraiment tenir le coup sans d'autres apports, même si on a une bonne constitution au départ. On parle souvent des risques, mais rarement de la durée avant que les problèmes ne deviennent vraiment sérieux.
Viande et patates, ok, mais tu imagines quel type de viande et quelle cuisson pour les patates? Parce que steak haché et frites, c'est pas la même que du gibier bouilli et des pdt à la vapeur niveau impact, non?
C'est vrai que j'ai pas assez détaillé... Disons viande rouge maigre (genre steak, mais pas haché) et pommes de terre bouillies ou cuites à la vapeur, sans ajout de matière grasse. L'idée, c'est d'avoir un truc le plus basique possible, sans chercher le plaisir gustatif, juste la "fonction". Est-ce que ça change ta vision des choses ?
Si on parle de long terme, et avec cette précision sur les aliments (viande maigre et patates vapeur), autant prendre de la patate douce! L'index glycemique est plus bas et tu as un apport en vitamine A, ce qui est toujours mieux que rien.
Je suis pas sûre que remplacer par de la patate douce résolve vraiment le problème de fond. C'est un peu comme mettre un pansement sur une jambe de bois, non ? L'idée de base du régime est tellement déséquilibrée que changer un ingrédient pour un autre légèrement mieux, ça reste quand même pas terrible.
Mouais, Mulan, je comprends ton point de vue, mais je pense que Cyrano63 essayait surtout de minimiser les dégâts. 😅
Ceci dit, même avec des patates douces, on reste sur un régime extrême, et là, on parle de long terme. Donc, creusons un peu les conséquences possibles. Si on se base sur les données dispo (merci au passage pour le rappel des keywords et du statut success 😜), le manque de fibres, c'est pas juste un problème de constipation passagère. Sur des années, ça augmente le risque de maladies cardiovasculaires et de certains cancers. On parle de combien ? Des études montrent une augmentation du risque de cancer colorectal de l'ordre de 15 à 20% chez les personnes ayant une alimentation pauvre en fibres sur le long terme. C'est pas rien.
Et puis, le coup des vitamines... OK, la patate douce apporte un peu de vitamine A, mais c'est loin de couvrir les besoins. Le corps a besoin de vitamine C, de vitamine D, de vitamine E, de vitamines du groupe B... Sans parler des minéraux essentiels comme le magnésium, le potassium, le calcium. Une carence prolongée, ça peut affecter le système immunitaire, la densité osseuse, la fonction cognitive... Bref, la totale. 📉
Perso, je pense qu'on sous-estime souvent l'impact de l'alimentation sur la santé mentale aussi. Un régime aussi restrictif, ça doit pas être facile à vivre psychologiquement. Sans parler du "rassasiement sensoriel spécifique" mentionné dans les données. À force de manger toujours la même chose, tu perds le plaisir de manger, et ça peut mener à d'autres problèmes, comme la dépression ou les troubles du comportement alimentaire. 😔
Donc, même avec de la bonne viande maigre et des patates douces, je pense que sur le très long terme, c'est une très mauvaise idée. Autant varier les plaisirs et manger un peu de tout, c'est quand même plus sympa, non ? 😉
TransitMaster, ton pavé est super complet, merci ! Ça me fait penser qu'il faudrait que je me penche sérieusement sur l'alimentation de mes patients... Je me concentre surtout sur la rééducation physique, mais l'aspect nutritionnel est souvent négligé, à tort. Bref. Pour en revenir au sujet, je suis d'accord : à long terme, c'est une catastrophe annoncée, même avec les meilleures patates douces du monde !
C'est bien de voir un professionnel de santé prendre conscience de l'importance de la nutrition. C'est souvent un angle mort, et c'est dommage. 💡 Pour le reste, entièrement d'accord. 👍
L'alimentation, c'est vraiment la base. Et Sophie, c'est top que tu veuilles intégrer ça dans ta pratique ! Moi, avec les familles que je suis, c'est souvent compliqué de les sensibiliser, ils ont tellement d'autres soucis... Mais bon, faut persévérer. Sinon, pour en revenir au régime viande-patates, je pense aussi que l'aspect psychologique est souvent sous-estimé, comme disait TransitMaster.
L'aspect psychologique, vous avez raison de le souligner. L'ennui gustatif est un facteur sous-estimé dans l'adhésion à long terme à n'importe quel régime. C'est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles les régimes très restrictifs échouent si souvent. On a beau se dire que c'est pour la bonne cause, le cerveau finit par réclamer de la variété, de la nouveauté, du plaisir.
Et ce n'est pas juste une question de plaisir hédoniste. Le "rassasiement sensoriel spécifique" dont parle TransitMaster, c'est un mécanisme biologique qui nous pousse à rechercher différents nutriments. Le corps sait ce dont il a besoin, et il nous envoie des signaux. Si on l'ignore trop longtemps, ça finit par se traduire par des fringales, des envies irrépressibles, et un sentiment de frustration constant. Au final, on craque et on se jette sur n'importe quoi, ce qui est encore pire.
Il y a des études intéressantes sur le sujet. Par exemple, une recherche publiée dans l'American Journal of Clinical Nutrition a montré que les personnes qui consomment une plus grande variété d'aliments ont tendance à avoir un meilleur profil nutritionnel global et un risque plus faible de maladies chroniques. Les chiffres parlent d'eux-mêmes.
Alors, même si l'idée de simplifier à l'extrême l'alimentation peut sembler séduisante au début, il faut vraiment prendre en compte les conséquences à long terme, tant sur le plan physique que mental.
Je trouve que tu vas un peu vite en besogne sur le "cerveau qui réclame". C'est pas aussi simple que ça, et toutes les études se valent pas. Y a plein de facteurs qui entrent en jeu, le stress, les habitudes, l'environnement social... C'est pas juste une histoire de nutriments manquants, enfin je pense pas.
C'est intéressant ce que tu dis sur la complexité des facteurs, Tesla Girl16. C'est sûr que c'est pas aussi simpliste qu'un cerveau qui hurle "plus de vitamine C !". Mais je pense qu'il y a quand même une base biologique, un truc instinctif qui entre en jeu, même si c'est noyé dans un tas d'autres influences. 🤔
Genre, quand t'es stressé, t'as souvent envie de trucs réconfortants, non ? Et c'est rarement du brocoli vapeur. 😅 C'est plus souvent des aliments riches en sucre ou en gras, qui stimulent les circuits de récompense dans le cerveau. C'est une forme d'auto-médication, en quelque sorte. Et ça, c'est lié à la biologie, même si le stress est un facteur environnemental.
Après, sur la validité des études, t'as raison, faut faire le tri. Y en a des bonnes et des moins bonnes. Mais quand tu vois des méta-analyses qui regroupent les résultats de plusieurs études indépendantes, ça commence à être plus convaincant. Par exemple, une méta-analyse publiée dans le British Medical Journal a montré une association significative entre la consommation de fruits et légumes et la réduction du risque de maladies cardiovasculaires. Les chiffres sont assez impressionnants, avec une réduction du risque relative de l'ordre de 20 à 30% pour les personnes qui en consomment le plus. 😱
Du coup, même si l'environnement social, les habitudes et le stress jouent un rôle, je pense que la biologie a quand même son mot à dire. Et quand on maltraite son corps avec un régime trop restrictif, il finit par se rebeller, d'une manière ou d'une autre. C'est comme essayer de faire tourner une vieille bagnole avec du carburant de mauvaise qualité : ça peut marcher un temps, mais à la longue, ça va finir par coincer. 🚀
le 27 Avril 2025
Pour les carences, le plus flagrant c'est l'absence totale de vitamine C, indispensable pour pas mal de trucs, notamment l'absorption du fer. Sans parler des fibres, inexistantes dans la viande, et quasi inexistantes dans les pdt si tu les consommes sans la peau... Bonjour les problèmes de transit ! Après, sur les quantités astronomiques... Bof, tu vas juste te dégoûter avant d'avoir de graves carences, je pense. Enfin j'espère, parce que niveau cholestérol et compagnie, ça doit pas être joli joli non plus.
le 27 Avril 2025
Exact, la vitamine C c'est le truc qui saute aux yeux direct. Mais faut pas oublier les folates aussi, importants pour le renouvellement cellulaire, et qu'on trouve surtout dans les légumes verts. Une carence prolongée, ça peut avoir des conséquences sur la peau, les cheveux... et même le système nerveux à la longue.
le 27 Avril 2025
Je suis pas totalement d'accord avec l'histoire du dégoût avant les carences. On sous-estime la capacité du corps à s'adapter, même à des trucs pas terribles. Et puis, il y a des gens qui ont une tolérance au cholestérol plus forte que d'autres, non ? Faut voir le profil de chacun, c'est pas une science exacte.
le 28 Avril 2025
Quand tu parles de profil, c'est vrai que ça change pas mal la donne. On est tous différents face à l'alimentation, et ce qui est mauvais pour l'un peut être moins pire pour l'autre. Mais quand même, un régime aussi limité, ça me paraît risqué pour n'importe qui sur le long terme... Même avec une super tolérance au cholestérol, le manque de vitamines et de fibres va forcément poser problème un jour ou l'autre, non ?
le 29 Avril 2025
Quand tu dis "pas viable", tu penses à quelle échelle de temps exactement ? Parce qu'un mois, six mois, ou dix ans, c'est pas la même histoire niveau conséquences, non ?
le 29 Avril 2025
Oui, tout à fait ! Je pensais plutôt sur du très long terme, genre des années. Je me demandais si le corps pouvait vraiment tenir le coup sans d'autres apports, même si on a une bonne constitution au départ. On parle souvent des risques, mais rarement de la durée avant que les problèmes ne deviennent vraiment sérieux.
le 29 Avril 2025
Merci pour toutes ces précisions, c'est plus clair maintenant !
le 30 Avril 2025
Viande et patates, ok, mais tu imagines quel type de viande et quelle cuisson pour les patates? Parce que steak haché et frites, c'est pas la même que du gibier bouilli et des pdt à la vapeur niveau impact, non?
le 01 Mai 2025
C'est vrai que j'ai pas assez détaillé... Disons viande rouge maigre (genre steak, mais pas haché) et pommes de terre bouillies ou cuites à la vapeur, sans ajout de matière grasse. L'idée, c'est d'avoir un truc le plus basique possible, sans chercher le plaisir gustatif, juste la "fonction". Est-ce que ça change ta vision des choses ?
le 02 Mai 2025
Si on parle de long terme, et avec cette précision sur les aliments (viande maigre et patates vapeur), autant prendre de la patate douce! L'index glycemique est plus bas et tu as un apport en vitamine A, ce qui est toujours mieux que rien.
le 02 Mai 2025
Je suis pas sûre que remplacer par de la patate douce résolve vraiment le problème de fond. C'est un peu comme mettre un pansement sur une jambe de bois, non ? L'idée de base du régime est tellement déséquilibrée que changer un ingrédient pour un autre légèrement mieux, ça reste quand même pas terrible.
le 02 Mai 2025
Mouais, Mulan, je comprends ton point de vue, mais je pense que Cyrano63 essayait surtout de minimiser les dégâts. 😅 Ceci dit, même avec des patates douces, on reste sur un régime extrême, et là, on parle de long terme. Donc, creusons un peu les conséquences possibles. Si on se base sur les données dispo (merci au passage pour le rappel des keywords et du statut success 😜), le manque de fibres, c'est pas juste un problème de constipation passagère. Sur des années, ça augmente le risque de maladies cardiovasculaires et de certains cancers. On parle de combien ? Des études montrent une augmentation du risque de cancer colorectal de l'ordre de 15 à 20% chez les personnes ayant une alimentation pauvre en fibres sur le long terme. C'est pas rien. Et puis, le coup des vitamines... OK, la patate douce apporte un peu de vitamine A, mais c'est loin de couvrir les besoins. Le corps a besoin de vitamine C, de vitamine D, de vitamine E, de vitamines du groupe B... Sans parler des minéraux essentiels comme le magnésium, le potassium, le calcium. Une carence prolongée, ça peut affecter le système immunitaire, la densité osseuse, la fonction cognitive... Bref, la totale. 📉 Perso, je pense qu'on sous-estime souvent l'impact de l'alimentation sur la santé mentale aussi. Un régime aussi restrictif, ça doit pas être facile à vivre psychologiquement. Sans parler du "rassasiement sensoriel spécifique" mentionné dans les données. À force de manger toujours la même chose, tu perds le plaisir de manger, et ça peut mener à d'autres problèmes, comme la dépression ou les troubles du comportement alimentaire. 😔 Donc, même avec de la bonne viande maigre et des patates douces, je pense que sur le très long terme, c'est une très mauvaise idée. Autant varier les plaisirs et manger un peu de tout, c'est quand même plus sympa, non ? 😉
le 03 Mai 2025
TransitMaster, ton pavé est super complet, merci ! Ça me fait penser qu'il faudrait que je me penche sérieusement sur l'alimentation de mes patients... Je me concentre surtout sur la rééducation physique, mais l'aspect nutritionnel est souvent négligé, à tort. Bref. Pour en revenir au sujet, je suis d'accord : à long terme, c'est une catastrophe annoncée, même avec les meilleures patates douces du monde !
le 03 Mai 2025
C'est bien de voir un professionnel de santé prendre conscience de l'importance de la nutrition. C'est souvent un angle mort, et c'est dommage. 💡 Pour le reste, entièrement d'accord. 👍
le 03 Mai 2025
L'alimentation, c'est vraiment la base. Et Sophie, c'est top que tu veuilles intégrer ça dans ta pratique ! Moi, avec les familles que je suis, c'est souvent compliqué de les sensibiliser, ils ont tellement d'autres soucis... Mais bon, faut persévérer. Sinon, pour en revenir au régime viande-patates, je pense aussi que l'aspect psychologique est souvent sous-estimé, comme disait TransitMaster.
le 04 Mai 2025
L'aspect psychologique, vous avez raison de le souligner. L'ennui gustatif est un facteur sous-estimé dans l'adhésion à long terme à n'importe quel régime. C'est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles les régimes très restrictifs échouent si souvent. On a beau se dire que c'est pour la bonne cause, le cerveau finit par réclamer de la variété, de la nouveauté, du plaisir. Et ce n'est pas juste une question de plaisir hédoniste. Le "rassasiement sensoriel spécifique" dont parle TransitMaster, c'est un mécanisme biologique qui nous pousse à rechercher différents nutriments. Le corps sait ce dont il a besoin, et il nous envoie des signaux. Si on l'ignore trop longtemps, ça finit par se traduire par des fringales, des envies irrépressibles, et un sentiment de frustration constant. Au final, on craque et on se jette sur n'importe quoi, ce qui est encore pire. Il y a des études intéressantes sur le sujet. Par exemple, une recherche publiée dans l'American Journal of Clinical Nutrition a montré que les personnes qui consomment une plus grande variété d'aliments ont tendance à avoir un meilleur profil nutritionnel global et un risque plus faible de maladies chroniques. Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Alors, même si l'idée de simplifier à l'extrême l'alimentation peut sembler séduisante au début, il faut vraiment prendre en compte les conséquences à long terme, tant sur le plan physique que mental.
le 05 Mai 2025
Je trouve que tu vas un peu vite en besogne sur le "cerveau qui réclame". C'est pas aussi simple que ça, et toutes les études se valent pas. Y a plein de facteurs qui entrent en jeu, le stress, les habitudes, l'environnement social... C'est pas juste une histoire de nutriments manquants, enfin je pense pas.
le 05 Mai 2025
C'est intéressant ce que tu dis sur la complexité des facteurs, Tesla Girl16. C'est sûr que c'est pas aussi simpliste qu'un cerveau qui hurle "plus de vitamine C !". Mais je pense qu'il y a quand même une base biologique, un truc instinctif qui entre en jeu, même si c'est noyé dans un tas d'autres influences. 🤔 Genre, quand t'es stressé, t'as souvent envie de trucs réconfortants, non ? Et c'est rarement du brocoli vapeur. 😅 C'est plus souvent des aliments riches en sucre ou en gras, qui stimulent les circuits de récompense dans le cerveau. C'est une forme d'auto-médication, en quelque sorte. Et ça, c'est lié à la biologie, même si le stress est un facteur environnemental. Après, sur la validité des études, t'as raison, faut faire le tri. Y en a des bonnes et des moins bonnes. Mais quand tu vois des méta-analyses qui regroupent les résultats de plusieurs études indépendantes, ça commence à être plus convaincant. Par exemple, une méta-analyse publiée dans le British Medical Journal a montré une association significative entre la consommation de fruits et légumes et la réduction du risque de maladies cardiovasculaires. Les chiffres sont assez impressionnants, avec une réduction du risque relative de l'ordre de 20 à 30% pour les personnes qui en consomment le plus. 😱 Du coup, même si l'environnement social, les habitudes et le stress jouent un rôle, je pense que la biologie a quand même son mot à dire. Et quand on maltraite son corps avec un régime trop restrictif, il finit par se rebeller, d'une manière ou d'une autre. C'est comme essayer de faire tourner une vieille bagnole avec du carburant de mauvaise qualité : ça peut marcher un temps, mais à la longue, ça va finir par coincer. 🚀